Etape du jour : Montevideo – Minas, 167 km
Nous avons passé (perdu) deux jours à Montevideo pour régler les paperasses afin de libérer nos motos séquestrées dans un container sur le port. Office de l’immigration, agence de transit, banques, agents de change, douane… un marathon invraisemblable, une lourdeur administrative surréaliste pour enfin obtenir le papier qui permet d’obtenir le formulaire adéquat qui une fois signé donne droit au document etc… et j’en passe, sans parler des frais supplémentaires…
Entre deux attentes, petite balade dans Montevideo qui est loin d’être la ville la plus photogénique du monde…
Ce n’est pas la mer, c’est l’embouchure du Rio de la Plata, estutaire créé par le Rio Parana et le Rio Uruguay, séparant l’Uruguay de l’Argentine. Presqu’en face de Buenos Aires.Le GO est lent….haha!
C’est presque aussi mignon que notre côte belge…
La vieille ville, un rien plus « sexy »…
L’indépendance en 1825, ce qui ne veut pas dire que tout est permis 😉
Contrairement au Brésil, le fascisme ne passera pas ici semble t’il
Lunch au marché couvert
Enfin accès au port et libération de nos compagnes…
Nous quittons Montevideo vers 17h, une première panne d’essence de Hughes (les réservoirs devaient être presque vides pour voyager sur le bateau) puis 167 km pour arriver à Minas de nuit, en terminant par une piste d’une vingtaine de km, une bonne entrée en matière.
L’aventure peut commencer…
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Jours perdus à régler la paperasse, lourdeur administrative surréaliste, marathon invraisemblable, on dirait une pause avec mes collègues ! Pas un voyage entre copains.
Restez positif ! Seulement 2 jours pour libérer 5 motos, je les trouve particulièrement efficaces les fonctionnaires là-bas !
Et ne perdez jamais de vue, qu’au retour, c’est aux belges qu’il faudra se confronter ! C’est à ce moment là que vous allez regretter l’Uruguay.
Bon retour quand même !
JM
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Je suis impatiente de voir la suite du reportage. Bonne aventure !
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